politique, de Villiers, campagne
Les évènements font campagne pour Philippe de Villiers
éditorial de Guillaume Peltier (n°2 du MPF), mars 2006
Dans à peine plus d’un an, le dimanche 22 avril 2007 probablement, se déroulera le premier tour de l’élection présidentielle. Philippe de Villiers sera le candidat du patriotisme populaire, et la surprise pourrait être de taille. Jamais auparavant les évènements n’avaient autant fait campagne pour les idées que nous portons ; les incidents du train Nice-Lyon, les renoncements de nos gouvernants sur le rôle positif de la colonisation, les insultes aux harkis, les violences islamiques à la suite des caricatures de Mahomet, la directive Bolkestein rejetée par les Français le 29 mai dernier et qui revient, discrètement, par la petite porte du Parlement européen, les ouvriers polonais embauchés à 400 euros pour 44 heures de travail hebdomadaire sur le chantier de la centrale EDF de Porcheville, la dérive humiliante du Clemenceau, abandonné par les hommes politiques comme ils ont abandonné la France, ou encore les meurtres odieux et barbares du gendarme Raphaël Clin et de ce jeune Juif, Ilan Halimi, par un jeune d’origine ivoirienne, Youssef Fofana…
Tout concorde, tout est démontré, tout est dit : la France est menacée par un double péril. Le mondialisme libre-échangiste de Bruxelles et le communautarisme islamique encouragé par Nicolas Sarkozy représentent les deux nouvelles idoles que le système politique veut nous faire adorer. Ce sont pour nous les deux pièges, pièges tragiques et gravissimes, que nous rejetons. Le MPF le répète depuis des années à tous nos compatriotes. Et, pour la première fois de manière aussi éclatante, l’actualité confirme, conforte, illustre la nécessité d’une alternative et d’un nouveau projet pour la France. Au-delà des évènements, tous les indicateurs sont au vert : une moyenne de 150 adhésions par jour reçues au siège national tout au long du mois de février, des milliers de mails de soutien, le nouveau site internet à peine mis en ligne et qui dépasse déjà les 5 000 connexions quotidiennes, plus d’un million de documents en passe d’être « écoulés » sur le terrain, sans parler des derniers sondages qui démontrent que le vote Villiers est en train de s’installer progressivement et solidement dans l’opinion. L’institut CSA pour Le Parisien-Aujourd’hui en France (3 février 2006) tout comme le baromètre Ipsos pour l’hebdomadaire Le Point (16 février 2006) confirment la dynamique Villiers puisque, selon ces deux études, le candidat du MPF obtiendrait autour de 7 % des suffrages, juste derrière Le Pen (9 %) et devant Bayrou, Besancenot (6 %), Buffet et Laguiller (4 %) ou encore Voynet (2 %). Sans compter que le potentiel présidentiel de Villiers atteint en février son plus haut niveau, puisque plus de 31 % des Français (en hausse de 5 points par rapport à janvier) disent « pouvoir envisager de voter Villiers en 2007 ». La dynamique de nos idées est inéluctable. La victoire, au bout du chemin…
mon avis: le titre résume tout, jamais depuis que je suis l'actualité, je n'ai vu une suite d'évenements gravissimes se succéder à un rythme si soutenu.. et tous ces événements confirment les analyses de Philippe de Villiers.... sous la pression du réel, les tabous sont en train de tomber: oui, l'immigration massive détruit la cohésion sociale... oui, l'islamisme est un danger mortel pour la France.... oui, le laxisme à l'égard des délinquants doit cesser... oui, l'Europe de Bruxelles marche sur la tête... J'ai cependant juste un point de désaccord avec Guillaume Peltier: selon moi, ce n'est pas au législateur d'écrire l'Histoire. A cet égard, le gouvernement a bien fait d'amender la loi qui évoquait les aspects positifs de la colonisation française.. Bien sûr, il aurait fallu également revenir sur les lois Gayssot, Taubira...etc... j'y reviendrai plus tard